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Posted: December 7, 2014 |
D'après le Financial Times, le Parlement européen s'apprête à demander à Google, dans un projet de motion, de séparer ses activités de moteur de recherche du reste de ses activités commerciales. L'Union européenne chercherait ainsi à limiter la domination sans partage du géant américain. Le vote de la motion, qui n'a pas les moyens de faire plier Google mais pourrait influencer la Commission européenne, devrait avoir lieu mardi. Memoir lève 5,5 millions de dollars L'application de partage de photos Memoir vient de lever 5,5 millions de dollars supplémentaires, après avoir déjà levé 1,2 millions. L'application, qui permet de redécouvrir ses anciennes photos de manière originale, a été lancée sur iOS à l'automne dernier, et va être adaptée sur le web pour ceux qui ne possèdent pas d'iPhone. Pour l'instant, elle reste gratuite, mais la société envisage une version premium. DataFox lance une application mobile La plateforme de recherche en ligne sur les sociétés tech DataFox lance une application iOS. Gratuite, l'application donne accès à des renseignements sur plus de 500 000 entreprises. En revanche, les tableaux et graphiques ne sont pas disponibles sur mobile.
Yahoo rachète Cooliris La startup Cooliris, qui a développé une application photo du même nom, a annoncé vendredi avoir été rachetée par Yahoo. Sephora adopte Apple Pay à San Francisco Les magasins de produits cosmétiques Sephora acceptent depuis vendredi, dans les magasins de la Baie de San Francisco et dans le magasin de Lexington, à Manhattan, les paiements par Apple Pay. Sephora a dû s'équiper de la technologie nécessaire pour recevoir les paiements mobiles. Pour le moment il s'agit d'un test, mais l'enseigne compte développer Apple Pay dans tous les Etats-Unis très prochainement. Et oui, c'est que jeudi dernier (le 20 novembre), papi Windows soufflait déjà ses 29 bougies dans la quasi indifférence générale. Pour laver cet affront impardonnable, l'épisode de Pub Story du jour rend hommage au bébé de Redmond d'une manière un peu particulière… Capture d'écran 2014 11 22 à 15.09.25Cette fois, nous avons sélectionné une fausse publicité réalisée en interne par Microsoft, mais le meilleur, c'est que l'acteur principal n'est pas vraiment inconnu au radar. C'est un Steve Ballmer déchainé métamorphosé en commercial qui s'y colle pour nous vanter les mérites de Windows 1.0 qui intègre — rendez-vous compte — un véritable jeu Reversi ! Renversant ! « Commandez Windows 1.0 immédiatement… » nous assène celui qui deviendra plus tard le PDG d'une des entreprises les plus puissantes au monde « sauf si vous habitez dans le Nebraska » conclut-il. Décryptage, tranche de rire et sous-titrage français complet, c'est tout de suite, dans Pub Story !
Au mois de septembre, Sigmar Gabriel, vice-chancelier d'Allemagne et ministre fédéral de l'Économie et de l'Énergie, avait donné le ton en revenant sur l'enquête actuelle concernant un abus de position dominante de la part de Google. Dans le quotidien Frankfurter Allgemeine Zeitung, M. Gabriel expliquait qu'une scission des activités de Google était une solution qui devait être « sérieusement prise en considération (...) mais ce serait seulement en recours final, c'est la raison pour laquelle nous nous concentrons sur la régulation anti-monopole pour les plateformes Internet ». Ces dernières semaines, il semblerait que les autorités de Bruxelles aient mûri cette idée et selon une dépêche de l'agence Reuters, le Parlement Européen s'apprête à voter une motion pour l'heure à l'état de brouillon selon laquelle les sociétés proposant un moteur de recherche devraient séparer leurs autres activités. Google ne serait pas expressément mentionné, toutefois, la société de Mountain View affiche une part de marché de 90% sur le Vieux Continent. Elle est donc clairement en ligne de mire. Plus globalement cela pourrait également affecter les stratégies des autres acteurs du secteur comme Yahoo! et Microsoft. Cette information a également été confirmée par le Financial Times. Redynamiser le marché La séparation explicite de ces activités viserait à offrir une solution viable pour éviter tout entretien d'abus de position dominante et favoriser la concurrence sur ce secteur. « C'est un monopole, cela tue notre marché technologique », affirme ainsi Ramon Tremosa, l'un des membres du Parlement ayant pris part à la rédaction de cette motion. Andreas Schwab, le démocrate allemand ayant co-rédigé cette résolution, explique que Google continue de supprimer la compétition au détriment du consommateur et des entreprises européennes. Notons que le Parlement européen ne dispose pas des pouvoirs législatifs et n'est pas en mesure de scinder les activités d'une société. Toutefois cette motion devrait permettre de faire pression sur la Commission Européenne. Les autorités de Bruxelles sont précisément en pleine investigation sur les pratiques du géant californien pour une affaire d'abus de position dominante. Plusieurs entreprises dont Microsoft reprochaient à Google d'entretenir un monopole sur le marché des moteurs de recherche pour mettre en avant ses propres services (comparateurs de prix, services de cartographie, etc) au détriment de ses concurrents. Parmi les plaignants, nous retrouvons TripAdvisor, Expedia, Hotwire, Nokia, Oracle, Twenga ou ShopCity, représentés par FairSearch.org.
La société Yelp s'était également manifestée en expliquant que Google la défavorisait sur son moteur pour mettre en avant ses propres contenus et notamment son réseau communautaire Google. Yelp avait précédemment déposé une plainte en expliquant que la firme de Larry Page utilisait le contenu de son site pour le placer librement au sein de ses services comme Google Maps. Comme solution alternative à la scission des activités de Google, il a également été évoqué de faire tourner en boucle les résultats du moteur de Google pour une requête donnée afin d'offrir une visibilité égale pour l'ensemble des acteurs dont le marché est relatif à ce mot-clé. L'association Consommation, logement de cadre de vie (CLCV) a assigné en justice l'américain Netflix, lui reprochant de ne pas avoir adapté ses conditions générales de vente au droit français. Comme le rapporte Le Parisien, une association d'aide aux consommateurs a présenté au tribunal de grande Instance de Paris une plainte visant Netflix. Selon CLCV, le géant américain ne se serait pas vraiment soucié du droit français en rédigeant les clauses de ses conditions générales de vente, en conservant quelques éléments issus du droit américain. Trois points, en l'occurrence, sont soulevés par l'association. La possibilité que se laisse Netflix, tout d'abord, de modifier ses clauses sans en informer le client, ce qui est illégal en France. François Carlier, le délégué général de la CLCV, explique ensuite que Netflix ne peut se dédouaner complètement de la qualité de vidéo, comme elle le fait dans son contrat. « S'il est tout à fait normal qu'un professionnel cherche à limiter ses responsabilités, il ne peut en revanche se soustraire à certaines, comme la qualité du service. » Enfin, l'association a relevé ça et là quelques clauses rédigées en anglais, que Netflix n'a pas pris le soin de traduire. Impossible à comprendre, donc, pour qui ne maîtrise pas la langue de Shakespeare. MD a profité du salon Future of Compute de Singapour pour annoncer un partenariat avec le coréen Samsung. L'enjeu : la promotion du Freesync.
Il y a un peu plus d'un an, NVIDIA présentait G-Sync, une technologie permettant de proposer un affichage toujours fluide des jeux vidéo sans déchirement ou sauts d'image. L'idée est toute simple : plutôt que d'opérer à fréquence fixe, le moniteur ajuste la diffusion de l'image à la vitesse de calcul du GPU, pour une parfaite synchronisation entre les deux parties. Mais alors que le caméléon fait cavalier seul avec une solution propriétaire, AMD a choisi la voie opposée. G-Sync ne fonctionne qu'avec certaines cartes NVIDIA, FreeSync n'opère pas de discrimination, si ce n'est celle de la puissance de la carte. L'ex-fondeur a semble-t-il trouvé un allier de poids dans sa démarche : Samsung promet cinq références d'écrans compatibles FreeSync pour l'année prochaine. Un 23,6 et un 28 issus de la série UD590, mais aussi les 23,6, 28 et 31,5 de la série UE850. Des modèles Ultra HD dont on ne connait pas encore les prix, mais dont on sait qu'ils arriveront sur le marché en mai prochain. La fondation Mozilla, éditant le navigateur Firefox tire la majorité de ses revenus via les royalties des moteurs de recherche Sur l'année 2013, Mozilla aurait ainsi généré 314 millions de dollars, soit une légère progression de 1% par rapport à 2012 (311 millions de dollars). A titre de comparaison, en 2011, Mozilla affichait des revenus de 163 millions de dollars et de 123 millions de dollars l'année précédente. C'est principalement Google qui finance la fondation. Lorsque l'internaute clique sur un lien sponsorisé au travers du moteur de recherche configuré par défaut, une partie des revenus revient à Google et le géant de Mountain View reverse ainsi lui-même une partie à Mozilla. Google tient d'ailleurs une place financière toujours plus importante. Alors que les royalties générées en 2012 comptaient pour 85% des revenus de Mozilla (258,85 millions de dollars) ceux-ci représentaient 90% en 2013, soit 275,44 millions de dollars. Malgré cette faible croissance, Mozilla a augmenté ses dépenses, lesquelles passent de 145,5 millions de dollars en 2011 à 208,6 millions de dollars en 2012 et 295,46 millions de dollars en 2013. Ce sont toujours les développeurs qui constituent le principal poste de dépenses avec 197, 46 millions de dollars payés aux employés l'année dernière contre 143,19 millions sur les douze mois précédents. Le département marketing a par ailleurs presque doublé ses investissements (45,9 millions), notamment pour marquer les 10 ans du navigateur Firefox.
Des dons versés pour l'achat d'applications iOS et de matériel Apple La firme de Cupertino étend pour ce faire sa contribution au programme Product RED, initié notamment par Bono, chanteur et leader du groupe de musique U2. Apple et des éditeurs populaires lancent principalement « Apps pour RED », une section dédiée de l'App Store avec 25 applications comportant des contenus spécifiques. Les recettes enregistrées entre ce 24 novembre et le 7 décembre seront directement reversées au Fonds. Certaines applications sont payantes, d'autres gratuites, avec des achats intégrés (In-App). Citons tout particulièrement l'application pédagogique Le corps humain qui accueille un chapitre optionnel consacré au système immunitaire.Le vendredi 28 novembre et le lundi 1er décembre -- les fameux Black Friday et Cyber Monday, pendant lesquels les américains achètent leurs cadeaux pour les fêtes de fin d'année -- Apple étendra à tous ses produits ses contributions au programme de lutte contre le VIH. Il fera don d'un pourcentage, malheureusement non précisé, des ventes effectuées sur l'Apple Store en ligne et en magasin ces jours-là. Habituellement seuls quelques produits spécifiques, tels que des étuis pour iPhone et iPad, ou des iPod de couleur rouge, sont concernés (mais tout au long de l'année). Apple plus généreux depuis la nomination de Tim Cook Même si Apple est l'un des principaux contributeurs du programme Red, auquel il a donné 75 des 275 millions de dollars récoltés en huit ans (soit 27 %), ce montant ne représente qu'une infime fraction des bénéficies de plusieurs milliards de dollars qu'il encaisse chaque trimestre. À titre de comparaison, dernièrement Paul Allen à lui seul a fait un don personnel de 100 millions de dollars pour la lutte contre Ebola.
Apple n'avait pas la réputation d'être une société très généreuse sur le plan social, sous l'ère Steve Jobs, mais son nouveau PDG Tim Cook fait preuve de plus d'altruisme depuis sa nomination en 2011. Le fabricant a récemment pris de nouvelles mesures environnementales, puis Tim Cook a soutenu la cause homosexuelle.
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